Cecilia Bengolea / François Chaignaud

altered natives Say Yes to Another Excess - Twerk

Archive 2012
Danse
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altered natives' Say Yes to Another Excess - Twerk
Conception, Cecilia Bengolea et Franç̧ois Chaignaud 
Danse Cecilia Bengolea (Paris), François Chaignaud (Paris), Élisa Yvelin (Bruxelles), Alex Mugler (New York), Ana Pi (Paris / Belo Horizonte)
DJ : Elijah et Skilliam (Butterz record, Londres, UK)
Costumes, Cecilia Bengolea  et François Chaignaud
Création lumière, Dominique Palabaud, Jean-Marc Segalen, Cecilia Bengolea, François Chaignaud
Conseil musique, Miguel Cullen
Regard, Alexandre Roccoli
Régie générale, Jean-Marc Segalen
Régie lumière, Sindy Négoce
Production déléguée Vlovajob Pru
Administration / production : Cécile Vermorel
Diffusion : Sarah de Ganck (Art Happens)
Coproduction Biennale de la Danse de Lyon ; Centre de Dé́veloppement Choré́graphique Toulouse/Midi-Pyré́nées ; Centre Choré́graphique National de Franche-Comté à Belfort ;
le Vivat d’Armentiè̀res-scè̀ne conventionné́e danse et théâ̂tre ; Centre Choré́graphique National de Grenoble ; Centre Choré́graphique National de Caen / Basse-Normandie ; Les Spectacles vivants – Centre Pompidou (Paris) ; Festival d’Automne à̀ Paris
Coréalisation Les Spectacles vivants – Centre Pompidou (Paris) ; Festival d’Automne à̀ Paris
Avec l’aide à la production d’Arcadi, le soutien de FUSED - French U.S. Exchange in Dance : Chez Bushwick (New York) et de la Ménagerie de Verre (Paris)
Vlovajob Pru est subventionné́e par la DRAC Poitou-Charentes et reç̧oit l’aide de l’Institut Franç̧ais pour ses projets à l’é́tranger.
Cecilia Bengolea et Franç̧ois Chaignaud sont artistes associé́s à la Mé́nagerie de Verre (Paris). 
Avec le soutien de l’Adami
Remerciements à Elisabeth Schwartz, Warren, Mike, Sarah Chaumette, Alexandre Paulikevitch, Blazin Twins, Boot Dance Camp, Marie-Thérèse Allier, Frédéric Perouchine, Courtney Juicy Couture, Laurent Vinauger
Spectacle créé le 18 septembre 2012 à la Biennale de la Danse à Lyon
 

Apprendre en night club autant qu’en studio, dans les ballrooms de Harlem autant que sur les scènes labellisées, se passionner pour les figures oubliées de l’histoire de la danse comme François Malkowsky, pour les danses anthropologiques ou le hip hop new style, s’emparer de la question du sexe, du hula hoop ou du corps comme objet de propriété…
Les spectateurs de Cecilia Bengolea et François Chaignaud n’ont pas manqué d’occasions d’être interloqués par la somme de curiosités abordées sur scène depuis la formation de leur tandem en 2004.
Car en matière de danse, ces jeunes chorégraphes également repérés comme interprètes chez Alain Buffard, Boris Charmatz ou Mathilde Monnier, semblent n’avoir aucune chapelle mais un goût prononcé pour l’exploration des mythologies corporelles et un appétit pour la métamorphose de soi. Après deux performances applaudies au Festival d’Automne (l’une aérienne, menée en suspension dans l’espace : Castor et Pollux ; l’autre en quasi-apnée, menée dans des sacs de latex : Sylphides), Cecilia Bengolea et François Chaignaud réunissent un quintette de danseurs qui mettent leurs héritages chorégraphiques en partage, de la technique Horton à la house dance. Pour cette nouvelle pièce, créée suite au projet (M)IMOSA (un quatuor réuni autour d’une fascination commune pour la danse voguing) les chorégraphes tenteront de se débarrasser de tout cheminement théorique ou carcan thématique.
Leur nouvelle création ne parlera pas d’autre chose que de ce qui l’a générée : l’envie de construire en groupe, le désir d’une aventure transculturelle qui témoigne de l’aptitude des corps à emmagasiner, rejeter, ou incorporer l’histoire des autres. 

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